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[Poèmes] Recueil

  • Auteur de la discussion akihiko kayaba
  • Date de début

DeletedUser

Visiteur
Atlas qui supporte le monde
Tel toi qui es au centre du mien
Laisse-moi donc t'aider un peu
Avec ce poids lourd qui est le tien
Tu en rajoute à chaque fois
Prétexte : ne pas vouloir tomber
Regardes, toi qui veux tout jongler
Autour de toi, le tiers s'effondre
Tu ne manqueras pas d'y succomber
Seul, on meurt, durement écrasé
Alors qu'ensemble deux mondes ou plus
On n'a aucun mal à les soulever.
 

DeletedUser

Visiteur
Bleu 6
Hoping I'll forget you every single day,
But my memories still haunt me
They just won't go away
My feelings won’t diminish
No matter what you say
Your photo is the only thing
That I could get to stay

I'm tired, I've been beaten
I've nothing left to lose
I know that I was set up
But there's naught that I can prove

I write these words although I know
That I've already lost
I fought with honour, honest truths
So much that it has cost
Cause you believed the lies,
Those snakes who wanted blood
People who don't know me
And never really could
Not half as much as you do,
Or did, or would, or should.

I gave you all the answers
You chose not to believe
Your harsh words were like steely knives
No hint of a reprieve
You left me for another,
I found out with dismay
So now I'm hoping I'll forget you more
With every passing day

Traduction
NB : comme toujours, cette traduction n'a en aucun cas vocation à être un poème en soi.

J'espère t'oublier tous les jours
Mais mes souvenirs me hantent
Ils ne veulent pas partir
Mes sentiments ne diminueront pas
Quoi que tu puisse dire
Ta photo est la seule chose
Que j'ai su faire rester

Je suis fatigué, battu
J'ai plus rien à perdre
Je sais qu'on a monté un coup contre moi
Mais rien que je ne puisse prouver

J'écris ces mots bien que je sache
Que j'ai déjà perdu
Je me suis battu avec honneur, avec la vérité
Ça m'a tant coûté
Car tu as cru aux mensonges
Aux serpents sanguins
Des gens qui ne me connaissent pas
Et jamais ne l'auraient pu
Pas la moitié de ce que tu sais, toi
Ou savais, pourrais savoir, devrais savoir

Je t'ai donné toutes les réponses
T'as choisi de ne pas y croire
Tes mots durs étaient comme des couteaux
Aucune ombre d'un sursis
Tu m'as quitté pour un autre
J'ai appris avec consternation
Alors j'espère t'oublier
Un petit peu plus à chaque journée
 

DeletedUser

Visiteur
Tsunami
Dévastatrice
Déferlante sur le banc
Rien sur son chemin.
Détruit les maisons
Les échoppes, les pavés
Plus rien n'est debout.
Vague trop claire
La lumière l’obscure
Nous ne l'avons vu.
Emportés par l'eau
Le danger nous chassant là
Où nous n'irions pas
Pour si peu qu'on ait
Le choix qui s’imposera
Nous fait peur, hélas
Il faudra choisir
On ne peut rester ici
Sinon qu'y mourir.
 

DeletedUser

Visiteur
Bleu 7
Reborn from the ashes of the heart you were given
Shining bright in the dark into which I was driven
By the hurt that you left here for me to face
The only thing left that could fill up the space
I wish I was lying, that there was no pain
But when the sun's leaving, you must expect rain
I'm giving you up, though you're already gone
I'm only just starting when you have moved on
It's not that I'm weak, no, never think that
But it's been stronger than I am, from right off the bat
So now I am rising back up off the floor
Throwing the pain in the closet and slamming the door
I'm done with the moping and all the duress
This wishing and waiting for a single caress
I wanted the truth, all that I've had is stress…

...

Hell, the fact is, honey... I'm still a mess.

Bleu 7, traduction
N.B: cette traduction n'a pas vocation à être un poème en soi.

Renaquit des cendres du cœur que je t'ai donné
Luisant dans les ombres où j'ai été chassé
Par la douleur à laquelle tu m'as opposé
La seule chose restante pouvant prendre ta place
J’aimerais mentir, dire que j'ai pas eu mal
Mais quand le soleil s'en va, faut s'attendre à la pluie
Je renonce à toi bien que tu sois partie
Je commence à peine, tu t'en es déjà remis
Je ne suis pas faible, non, ne pense pas cela
Mais dès le début c’était plus fort que moi
Maintenant je me relève du sol
Je jette ma peine dans l'armoire et je claque la porte
J'ai fini de pleurer,
D’espérer, d'attendre ne serait-ce qu'une caresse
Je voulais la vérité, j’ai eu que du stress


La vérité, chérie… je suis toujours hyper mal

Bleu 8
Si j’avais su ce qui se passerait
Ce jour de fin d’année
Je t’avoue, je t'en assure
Je n'y serais pas allé
Car bien qu'il fut sympa
Du moins en grande partie
Il n'a valu en aucun cas
La douleur qui l'a suivi
Je serais resté chez moi,
Prétextant une malaise
Je serais venu plus tard
T'offrir ces mots qui te plaisent
Je t’aurais dit tout ce que je pensais
Sans être remis en question
Même si j’en connais pas les formes
Tu aurais bien compris le fond
J’aurais rangé mes ardeurs
Attendu un jour plus beau
Mais non, je suis venu
Car tu me manquais trop
Je serais resté sur mon tel
Loin de tout ce mal
Que vous ne puissiez pas briser
Ce cœur qui s’emballe

Oui, je t’aurais menti
Mais ça n'aurait pas pu être pire
Que d’être honnête mais être seul ici
Avec mon cœur devenu martyr
Mensonge je n'en ai donné point
En parlant avec toi
Mais des regrets, eh bah j'en ai un:
J’aurais dû mentir pour ça.
 

DeletedUser

Visiteur
Bleu 9
Je m'en veux de ne pas être assez pour toi,
je m'en veux de ne plus t'avoir dans mes bras,
je m'en veux d'être faible, lâche et le reste,
je m'en veux d'échouer à chaque épreuve, chaque test
je m'en veux pour tes maux sans en être la cause
je m'en veux toujours que notre histoire soit close
je m'en veux de te parler si souvent de mon mal
alors que je sais ce qu'a fait cet animal
je m'en veux de croire être ce qu'il te faut
quand tu mérites plus que ne peuvent dire mes mots
je m'en veux, tu le sais, tu sais que je dis vrai
que tout ce que j'ai dit ne peut être que vérité
mais tu m'ignores, tu me fuis, tu ne sais faire que ça
tu te caches dans le silence, te disant « Il s'en remettra. »
tu le dis, le répètes, jusqu’à même le croire
puisque tu es incapable de voir
cette chose que tu ne saurais concevoir
c'est que je ne m'en remets pas
pas beaucoup, pas un peu, pas du tout, hélas.

Orlando
Le fleuve de mes larmes déborde de mes yeux
tel la Seine de ses bancs,
n'en fasse malheur à ceux
qui en sont la cause,
qui inspirent mes vers, mes textes, ma prose
Quarante-neuf morts
La vie en communauté c'est pas notre fort
On me dira qu'j'en fais pas partie
Que j’ne peux pas comprendre
Mais malheureusement si
Ils étaient humains
Le tueur aussi
Tout le reste on s'en fout
C'est juste un gâchis
Des gens qui s'aimaient
Des frères, pères et amants
Partis trop tôt
Pourquoi ? On sait pas
On en cherche la raison
Mais elle n'est pas là.
Qui suis-je pour parler ?
Personne, juste un homme
Qui en a marre qu'on se tue,
qu'on s'bastonne
Pour rien, des conneries
Je ne sais pas pour vous
Mais ce soir, ici
Je suis fier de vous dire
Je suis LGBTQI.

Loups (commande)
Tapis dans l'ombre, on vous espionne
La nuit dans les bois, nos hurlements résonnent
Tous seuls nous sommes forts, ensemble invincibles
Rien ne vous protège si vous êtes notre cible
Nos ennemis sont légion mais nous allons les battre
Quand nous en aurons fini ils seront tous en plâtre
Rejoignez-nous si vous l'osez
Mais que l'on soit bien clair
Nous sommes combattants
Et nous en sommes fiers
Aucun lâche, aucun noob
Ne se trouve dans nos rangs
Si ça ne vous va pas, on vous rentre dedans

Nous sommes les Loups, vous êtes notre proie
Les Loups prendront tout, car tel est notre droit.

Bleu, acte 10
Toi qui voulais m'oublier
Après tout ce qu'on a vécu,
Qui bloques tes mémoires,
Tu dis me connaître,
J'en suis pas convaincu.
Tu reviens me parler,
Après tout ce temps
Prétendant ne pas avoir connu
Cet amour que j’aimais tant…

Je ne sais pas ce qui t'y pousse,
Peut-être une peur de retomber
Ou bien encore les après-secousses
D'un mal inavoué.
Tu reviens, en ce jour
Comme si on était juste amis
Mes sentiments ne sont rien
Car ça t’arrange ainsi.

Je sais bien que tu as quelqu’un
Et que t'as vécu tant de choses
Mais moi aussi j'ai été blessé
Par cette histoire mi-close
Alors si je la ramène c'est que
Sans vraie discussion, je ne peux
Même pas passer à la prochaine
Ah non, c'est impossible,
Parce que c’est toujours toi que j'aime…
 

DeletedUser

Visiteur
No more bruises
Je ne te dis pas cela pour te convaincre, le choix est le tien
Mais pour que tu le fasses en connaissance de cause
Te dévoiler ma vérité est ce qui s'impose...

Je ne suis pas fort, mais je me battrais pour toi
Je ne suis pas doué avec les mots, mais tu les fais naître en moi
Je ne suis pas un musicien, mais mon cœur bat la chamade
Pour toi, sans qui ma vie serait fade.

Je suis encore fragile, mais mon épaule te soutiendra
J'ai besoin d'un appui, mais t'auras toujours mes bras
Je suis perdu, mais je préfère l'être avec toi
Plutôt qu'être seul au bon endroit

Je ne suis pas Superman, mais je peux être le tien
Tout faire chaque jour pour que tu ailles bien
Je suis loin d'être parfait, mais avec toi je peux tout faire
A chaque instant cela devient plus clair

Je ne suis pas un X-man, je n'ai aucun pouvoir
A part celui de t'aimer, toujours te vouloir
A côté de moi, vivant notre histoire

Je ne suis pas Iron Man, avec son armure
Ni Captain America avec toute sa bravoure
Je ne suis pas un héros, même pas un peu
Mais avec toi, tout cela devient plus qu'un jeu

Si j'étais Spider-man, tu serais ma Mary-Jane
Même quand t'es avec Harry, je sais ravaler ma haine
Que tu saches que c'est à ce point que je t'aime
Que c'est pour toi qu'je laisse mon cœur subir ces blèmes

Car oui, c'est un mal que de te voir avec lui
De savoir que je ne t'aurais jamais suffi
Mais c'est un mal que j'accepte, car ton bonheur m'importe
Plus qu'une envie de possession, même un amour de cette sorte

Je me demande juste s'il t'offrirait autant
Je l'espère sincèrement, de tout mon cœur
Qu'il saura te donner ce que tu ne veux pas de moi: le bonheur.
 
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DeletedUser

Visiteur
The man who would be king
Monsieur le « Président »,
votre prétention
ne montre que votre lâcheté:
Toujours plus vous vanter
Pour ne rien avoir à prouver

Monsieur le « Président »,
Votre gueule
Est assez grande pour deux
Mais sans tête pour réfléchir
Faut avouer que c'est pas mieux

Monsieur le « Président »,
vous insultez tout le monde
des religions à la science
En passant par
notre intelligence

Monsieur le « Président »,
Vous nous faites bien rigoler
Mais franchement l'idée
de vous au pouvoir
Ne peut que faire pleurer

Monsieur le « Président »,
On dit que deux têtes valent mieux qu'une
Mais pas s'il en faut dix mille autres
Juste pour combler vos lacunes

Monsieur le « Président »,
vous dites que vous créez des emplois
Combien de ceux-ci sont juste
Pour réparer vos mauvais choix ?

Monsieur le « Président »,
On commence à avoir marre
De vos allégations terribles
Et de votre allure de star

Monsieur le « Président »,
Ne me croyez pas en colère
C'est simplement que votre succès
A le don de stupéfaire

Monsieur le « Président »,
vous qui seriez roi
Les pays libres vous attendent
Mais d'ouverts vous n'y
Trouverez pas nos bras

Monsieur le « Président »,
vous ne connaissez rien à la politique,
Cela est votre base entière
Mais l'expérience dans ce job
Est plus que nécessaire

Monsieur le « Président »,
Avec vos idées datées
Votre programme populiste
Sans politique qui n'existe
Aux slogans irréalistes

Monsieur le « Président »,
Ce que nous ne comprenons pas
N'est pas la peur de ces américains
Mais que l'on pourrait pour cela élire
Un petit con comme toi.
 

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Visiteur
No more
Moi qui voulais me soigner
Je n'ai fait que m'enfoncer
Dans un puit sans fond
Dont je ne pourrai sortir
Même en trois cents ans
Mon plus fort désir

Moi qui croyais aller mieux
Je tombe encore des cieux
Me briser sur la terre
Je voudrais être ensevelie
Vingt mille lieux sous la mer
Seule, comme en vie

Moi qui pensais être bien
Je suis une moins que rien
Pour me définir je me dis tienne
Sans mot qui me soit propre
Quoique, peut-être bien « médiocre »
Sous les coups que tu m'assènes

Je sais que je devrais t’arrêter
Que te laisser faire c'est nous blesser
Mais pour cela, rien ne m'a préparé
Ça n’arrive qu'aux autres, après tout
Tu m'aimes, pour moi, de bout à bout
Je dois l'avoir mérité, tu n'es pas fou

Enfin, c'est ce que tu dis
Devant les larmes sur mon visage
Pleurant devant la porte
Alors que je fais mes baggages
Je suis partie pour de bon
Libérée de ta prison

Cinq ans que ça dure, c'est autant de trop
J'ai enfin la force de m’en aller
Je fonce tout droit, go
Finis les coups, les bleus
La violence terrible
Qui se voyait dans tes yeux

Je n'ai plus besoin de toi
Plus besoin de personne
Je ne suis plus qu’à moi-même
Trouve-toi une autre bobonne
Plus de bleu, plus de rouge, plus de noir
Je peux de nouveau m'asseoir

Je pourrais te traiter de tous les noms
Mais pour toi je n'ai pas d'haine, juste honte
Que pour que tu puisse t'aimer
Tu dois toutes nous rabaisser
Que tu ne connaisse pas l'amour
Juste un désir de possession

Tu restes enfermé dans ta vision du monde
Mais moi je suis enfin délivrée
En voyant mes filles, je n'ai qu'une chose à dire :
Jamais, plus jamais.
 
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DeletedUser

Visiteur
Lettre ouverte au FN
Si je vous dis ce que je pense, on me traitera de con
Bien que celui qui insulte ne pourrait être plus intelligent

Du coup, je le dis quand même, en vous passant un balai
Je n'en ai plus besoin, je dis, mon seuil est nettoyé
Le vôtre, par contre, il faut le dire, est en bien piètre état
Donc prenez-le par la manche, il vous le faut bien plus qu’à moi

Passez un bon coup, je dis, avant d’venir parler
Vos dialogues de sourds ne sauront pas m'impressionner
On se fiche de vos railleries qui se basent sur aucune preuve
De vos accusations, vos insultes, vos mouvements, vos manœuvres

A force on se lasse de vous, toujours les mêmes angles d’attaque
Ces argumentations stériles avec lesquelles on nous matraque
La haine n'est pas une arme sachant être digne des français
Cette nation qui prône par-dessus tout : liberté, égalité, fraternité

Français on peut le naître certes, mais aussi le devenir
Fiers de vivre par cette devise, pour tout ce qu'elle veut dire
Si vous ne voyez pas la vérité dans mes mots que voici
Sachez qu'vous n’êtes pas la solution, non, vous êtes le souci

Vous me direz bien sûr que si je n’aime pas ça,
Comme tous les autres, je peux bien rentrer chez moi
Mais moi j'aime ce pays, ces gens, même ceux
Qui ne me ressemblent pas, parce que comme eux

Je ne me sens pas étranger, les valeurs je m'y retrouve
Ce sont d'ailleurs vos propres arguments qui me prouvent
Que j’ai raison de dire que la France a encore de l'espoir
Pas par vous, heureusement, mais par ce défouloir
Que vous êtes devenus à force de vouloir nous monter
Les uns contre les autres, des anglais aux congolais

Vous prêchez la patrie sans en connaître son cœur
Ne vous inquiétez pas, il ne sera jamais votre heure.
 
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