DeletedUser
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A la recherche d'avis
Un souvenir
Un amour
Un rêve
Une vie
Solitude
Un ange
Un ami
Cri de détresse
Un désir
Nature (commande)
Death Note (commande)
Saabriinaa (commande)
Amitié (commande)
War (commande)
War (traduction)
Invasion
La Reine des cœurs (commande)
Bleu, acte 1
Je voudrais tellement. (Bleu acte 2, trad)
I wish... (Bleu acte 2)
La mort (commande)
Bleu, acte 3.
Bleu acte 3, trad
Temudjin (commande)
Un souvenir
des mondes comme j'en aie vu, des endroits, oui plein,
des milliers, des centaines, qui me semblent comme un
des rôles et caractères que j'ai joué sans pair,
des élèves que j'ai pris qui ont eu de mon flair
des amours j'ai vécu qui ont tout de réel,
des amis innombrables mais surtout virtuels
des combats pour la vie semblant interminables,
des guerres gagnées sans partir de ma table
des êtres que j'ai vu par mes longues journées,
des choses qui m'ont émues sur mes plus durs trajets
Tout ça c'est rien, à côté de toi,
mais ce que je sais, c'est que c'est tout moi.
des milliers, des centaines, qui me semblent comme un
des rôles et caractères que j'ai joué sans pair,
des élèves que j'ai pris qui ont eu de mon flair
des amours j'ai vécu qui ont tout de réel,
des amis innombrables mais surtout virtuels
des combats pour la vie semblant interminables,
des guerres gagnées sans partir de ma table
des êtres que j'ai vu par mes longues journées,
des choses qui m'ont émues sur mes plus durs trajets
Tout ça c'est rien, à côté de toi,
mais ce que je sais, c'est que c'est tout moi.
Un amour
Lorsque nous étions gamins
Tu m'as prise par les deux mains
Tu m'as embrassé sur le front
Bousculés par tout ce vent
Lorsque nous étions enfants
On s'est vus de temps en temps
Tu m'as embrassé sur la joue
Nous sommes rentrés pleins de boue
Lorsque nous étions ados
Je t'ai porté sur le dos
Tu m'as embrassé sur le cou
Ils nous ont pris pour des fous
Lorsque nous étions adultes
Bons temps nous en avions moult
Tu m'as embrassé sur les lèvres
Nous étions pris par une fièvre
Maintenant nous sommes bien trop vieux
Ils t'emportent vers les cieux
Je t'embrasse sur le front
Tout comme toi auparavant
Tu m'as prise par les deux mains
Tu m'as embrassé sur le front
Bousculés par tout ce vent
Lorsque nous étions enfants
On s'est vus de temps en temps
Tu m'as embrassé sur la joue
Nous sommes rentrés pleins de boue
Lorsque nous étions ados
Je t'ai porté sur le dos
Tu m'as embrassé sur le cou
Ils nous ont pris pour des fous
Lorsque nous étions adultes
Bons temps nous en avions moult
Tu m'as embrassé sur les lèvres
Nous étions pris par une fièvre
Maintenant nous sommes bien trop vieux
Ils t'emportent vers les cieux
Je t'embrasse sur le front
Tout comme toi auparavant
Un rêve
Que l'on suit jusqu'au bout
Qu'on ne lâche jamais
Qui vaut plus que tout
Qui n'est même plus sensé
Que l'on protège
Que l'on poursuit
Un sortilège
Qui va sans bruit
De l'amour
De l’amitié
De faire la cour
De la pitié
Un poème
Une chanson
Anathème
En roman
Qu'est-ce qu'un rêve?
C'est la vie.
Qu'on ne lâche jamais
Qui vaut plus que tout
Qui n'est même plus sensé
Que l'on protège
Que l'on poursuit
Un sortilège
Qui va sans bruit
De l'amour
De l’amitié
De faire la cour
De la pitié
Un poème
Une chanson
Anathème
En roman
Qu'est-ce qu'un rêve?
C'est la vie.
Une vie
C'est court, c'est long
Ça se vit par saison
Par année, par jour
Finie ou en cours
C'est sans direction
Mais ça n'a qu'un sens
Même ce que l'on voit
Ou ce que l'on pense
Est sans intérêt
Mais nous menons la danse
C'est ce qu'on connait
c'est ce qu'on sait faire
Ce que l'on fait
qu'est censé nous plaire
mais ne nous fait vivre
que les vœux de nos pairs
On vit mais pourquoi?
Vous criez tout fort
Car sans toi et moi
le monde il s'endort
Toute seule la vie
N'a aucune valeur
Qui se compte autrement
qu'en temps et en heures
Mais lorsqu'on lui donne
une fin assez proche
on vide nos banques,
on vide nos poches
on veut l'allonger
même prêts a payer
pour trois pauvres minutes
pour une chose sans but
La vie, sa valeur
C'est celle qu'on lui donne
Soit rien ou bien tout
Une chose assez conne
Ma vie,
ma valeur
n'est pas celle que tu crois
mais plutôt reflète ce que vous pensez de moi.
Ça se vit par saison
Par année, par jour
Finie ou en cours
C'est sans direction
Mais ça n'a qu'un sens
Même ce que l'on voit
Ou ce que l'on pense
Est sans intérêt
Mais nous menons la danse
C'est ce qu'on connait
c'est ce qu'on sait faire
Ce que l'on fait
qu'est censé nous plaire
mais ne nous fait vivre
que les vœux de nos pairs
On vit mais pourquoi?
Vous criez tout fort
Car sans toi et moi
le monde il s'endort
Toute seule la vie
N'a aucune valeur
Qui se compte autrement
qu'en temps et en heures
Mais lorsqu'on lui donne
une fin assez proche
on vide nos banques,
on vide nos poches
on veut l'allonger
même prêts a payer
pour trois pauvres minutes
pour une chose sans but
La vie, sa valeur
C'est celle qu'on lui donne
Soit rien ou bien tout
Une chose assez conne
Ma vie,
ma valeur
n'est pas celle que tu crois
mais plutôt reflète ce que vous pensez de moi.
Solitude
Un enfant sans bagage
il bloquait mon passage
ces jeunes sans visage
des petits pleins de rage
Un soldat sur mon chemin
voyez comme il y en a plein
ils sont tous sur le terrain
sans quiconque tenant leur main
Une mère au berceau
elle a perdu toutes ses eaux
elle cherche ce qui est beau
au milieu de ses sanglots
Un homme sans amour
Vivant dans une tour
Un compte a rebours
Plus un seul secours
Un pauvre loin d'ici
sans aide et sans abri
même pas un ami
pour changer tout ceci
Eleanor Rigby
Father Mckenzie
50 ans d'ici
Toujours rien appris.
il bloquait mon passage
ces jeunes sans visage
des petits pleins de rage
Un soldat sur mon chemin
voyez comme il y en a plein
ils sont tous sur le terrain
sans quiconque tenant leur main
Une mère au berceau
elle a perdu toutes ses eaux
elle cherche ce qui est beau
au milieu de ses sanglots
Un homme sans amour
Vivant dans une tour
Un compte a rebours
Plus un seul secours
Un pauvre loin d'ici
sans aide et sans abri
même pas un ami
pour changer tout ceci
Eleanor Rigby
Father Mckenzie
50 ans d'ici
Toujours rien appris.
Un ange
Tout a débuté un soir
En haut de
Ma tour d'ivoire
Mon coeur se mit
A battre fort
Je le sentis
Dans tout mon corps
Quand je la vois
De tellement loin
C'est sans façon
Tenir sa main
M'est impossible
Même je me plains
Quand mon coeur bat
Taram-tin-tin
Elle me manque
C'est tous les jours
Quand je la vois
Je vole, je cours
Vous savez quoi?
C'est vraiment triste
Mon disque se fige
Sur une seule piste
C'est bête
Je sais
Mais pas le choix
Ce n'est pas grave
C'est elle et moi
L'amour n'est pas chose qu'on fuit
Mais chose que l'on porte toute une vie
Si l'écrit arrive dans mes songes
C'est parce que je parle de mon ange...
En haut de
Ma tour d'ivoire
Mon coeur se mit
A battre fort
Je le sentis
Dans tout mon corps
Quand je la vois
De tellement loin
C'est sans façon
Tenir sa main
M'est impossible
Même je me plains
Quand mon coeur bat
Taram-tin-tin
Elle me manque
C'est tous les jours
Quand je la vois
Je vole, je cours
Vous savez quoi?
C'est vraiment triste
Mon disque se fige
Sur une seule piste
C'est bête
Je sais
Mais pas le choix
Ce n'est pas grave
C'est elle et moi
L'amour n'est pas chose qu'on fuit
Mais chose que l'on porte toute une vie
Si l'écrit arrive dans mes songes
C'est parce que je parle de mon ange...
Un ami
Comme toute histoire
Qui vaut la peine
Je ne sais pas
Où ça mène
Seulement que
Le début
C'était l'école
La suite
Un peu plus folle
Une journée
Sans sens ni rôle
Sinon que d'être
Le départ d'un copain
Un bon, un vrai,
Un qui te serre la main
Et te suit dans le noir
Même quand t'as plus espoir.
Comme dit, il est parti
Mais dans mon coeur il vit
Même séparés par la mer
Nous restons la même paire
Des amis unis
Par hasard pour une vie
Six pieds sous terre
Rien à y faire
Sinon que vivre
Une vie
Dont il serait fier.
Mon ami.
Qui vaut la peine
Je ne sais pas
Où ça mène
Seulement que
Le début
C'était l'école
La suite
Un peu plus folle
Une journée
Sans sens ni rôle
Sinon que d'être
Le départ d'un copain
Un bon, un vrai,
Un qui te serre la main
Et te suit dans le noir
Même quand t'as plus espoir.
Comme dit, il est parti
Mais dans mon coeur il vit
Même séparés par la mer
Nous restons la même paire
Des amis unis
Par hasard pour une vie
Six pieds sous terre
Rien à y faire
Sinon que vivre
Une vie
Dont il serait fier.
Mon ami.
Cri de détresse
Au-delà de cimes
Je me promène
A la recherche
De quelques rimes
Non pas pour décrire
Ni définir
Ce que je pense
Ou ressens
Mais afin d'oublier
Une peine terrible
Une haine toute flamme
Une douleur
Une peur fatigante
Parce que
Honnêtement
J'ai honte.
Honte de moi,
Honte de toi
Honte de l'humain
De ce que je suis,
De ce que je fais...
Une honte envahissante
Une terreur dominante
Et pour cette chose abominable
Je m'en vais
Qui veut me trouver
N'a qu'à suivre ces lignes
Au-delà des cimes
Je me promène.
Je me promène
A la recherche
De quelques rimes
Non pas pour décrire
Ni définir
Ce que je pense
Ou ressens
Mais afin d'oublier
Une peine terrible
Une haine toute flamme
Une douleur
Une peur fatigante
Parce que
Honnêtement
J'ai honte.
Honte de moi,
Honte de toi
Honte de l'humain
De ce que je suis,
De ce que je fais...
Une honte envahissante
Une terreur dominante
Et pour cette chose abominable
Je m'en vais
Qui veut me trouver
N'a qu'à suivre ces lignes
Au-delà des cimes
Je me promène.
Un désir
De fuir, de crier
De lire, de chanter
Incroyable, mais vrai
Des choses insensés
De faire, de luire
Avancer, construire
D'étonner, de mentir
Ça me fait grand plaisir
M'énerver
M'en aller
M'enticher
M'allonger
Un désir
D'évasion
D'attention
De choix
De toi
De pleurer
De baiser
D'aimer
Mais enfin
Et surtout :
De vivre.
De lire, de chanter
Incroyable, mais vrai
Des choses insensés
De faire, de luire
Avancer, construire
D'étonner, de mentir
Ça me fait grand plaisir
M'énerver
M'en aller
M'enticher
M'allonger
Un désir
D'évasion
D'attention
De choix
De toi
De pleurer
De baiser
D'aimer
Mais enfin
Et surtout :
De vivre.
Nature (commande)
La nature, cette chose indéfinissable
Qu'on croit évidente, qu'on dessine à la table
Qui nous rigole au nez lorsqu'on veut la comprendre
A qui tout revient, très vite ou très tard
Qui quand on la défie
Envoie tout en pétard
Et qui pour nous n'a aucun merci
C'est le soleil du jour
Et les planètes la nuit
La mort très certaine
Et tout ce qui vit
Qu'est-ce que la nature ?
C'est moi, c'est vous, c'est nous tous
Défendons la, il nous faut rien de plus.
Qu'on croit évidente, qu'on dessine à la table
Qui nous rigole au nez lorsqu'on veut la comprendre
A qui tout revient, très vite ou très tard
Qui quand on la défie
Envoie tout en pétard
Et qui pour nous n'a aucun merci
C'est le soleil du jour
Et les planètes la nuit
La mort très certaine
Et tout ce qui vit
Qu'est-ce que la nature ?
C'est moi, c'est vous, c'est nous tous
Défendons la, il nous faut rien de plus.
Death Note (commande)
La mort est une valeur sûre
Il suffit d'une morsure
D'un dard de scorpion
Ou un peu de poison
Il suffit de peu,
Car avec ce journal
Juste un brin d'encre
Même ton propre nom
Peut signer ta fin
Fais gaffe...
Ou je t'y inscris de ma main.
Il suffit d'une morsure
D'un dard de scorpion
Ou un peu de poison
Il suffit de peu,
Car avec ce journal
Juste un brin d'encre
Même ton propre nom
Peut signer ta fin
Fais gaffe...
Ou je t'y inscris de ma main.
Saabriinaa (commande)
Lorsque je l'ai connu,
c'était mon alliée
Que j'ai sans doute
De nombreuses fois
Beaucoup trop embêté
Si je fis cela c'est
Parce que pour moi
Elle était un danger
Elle aurait pu me prendre mon titre
De pipelette de l'année
Maintenant, bien mieux que ça
Elle est mon amie
Survivants d'Hermonassa,
notre vraie et seule patrie
Son nom, eh bien c'est saabriinaa
Au profil que voici
Gentille mais forte
Elle fonce aux portes
De tous nos ennemis
C'est ainsi que s'achève
Ce poème à sa gloire
"Lorsque le monde devient trop sombre,
Elle rayonne dans le noir"
c'était mon alliée
Que j'ai sans doute
De nombreuses fois
Beaucoup trop embêté
Si je fis cela c'est
Parce que pour moi
Elle était un danger
Elle aurait pu me prendre mon titre
De pipelette de l'année
Maintenant, bien mieux que ça
Elle est mon amie
Survivants d'Hermonassa,
notre vraie et seule patrie
Son nom, eh bien c'est saabriinaa
Au profil que voici
Gentille mais forte
Elle fonce aux portes
De tous nos ennemis
C'est ainsi que s'achève
Ce poème à sa gloire
"Lorsque le monde devient trop sombre,
Elle rayonne dans le noir"
Amitié (commande)
Un groupe d'amis
Tous différents, à priori
Mais malgré cela
Tous unis
Par une force commune
rets, le premier,
à l'origine du groupe
sab la deuxième,
joignit sa troupe.
Sab la gentille
Mais parfois perdue
Marrdine qui, elle,
d'ironie est mordue
Neirda le grand
A la langue bien pendue
Hermès gardien
Du fruit défendu
La cannelle précieuse
Absente à l'appel
Max le loup
Se nommant le bel
Doudou précoce
Une arme il recèle
Et un rets caché
Dont les mots ensorcellent
Gui le camarade
A travers toute épreuve
Bea l'ancien
Donne le sens à notre fleuve
Greg le modeste
Maintes fois fit ses preuves
Et Aka l'inconnu
C'est rarement qu'il se meuve
C'est cela qu'est notre groupe,
des amis malgré tout
Ces différences nous rassemblent...
Pourquoi pas vous?
Tous différents, à priori
Mais malgré cela
Tous unis
Par une force commune
rets, le premier,
à l'origine du groupe
sab la deuxième,
joignit sa troupe.
Sab la gentille
Mais parfois perdue
Marrdine qui, elle,
d'ironie est mordue
Neirda le grand
A la langue bien pendue
Hermès gardien
Du fruit défendu
La cannelle précieuse
Absente à l'appel
Max le loup
Se nommant le bel
Doudou précoce
Une arme il recèle
Et un rets caché
Dont les mots ensorcellent
Gui le camarade
A travers toute épreuve
Bea l'ancien
Donne le sens à notre fleuve
Greg le modeste
Maintes fois fit ses preuves
Et Aka l'inconnu
C'est rarement qu'il se meuve
C'est cela qu'est notre groupe,
des amis malgré tout
Ces différences nous rassemblent...
Pourquoi pas vous?
War (commande)
Boom go the bombs, falling on our heads
boom go the guns, piling up the dead
Crash go the tanks, over rubble thick,
Crash go the waves, with boats full of our sick
Flying go our planes, off to Germany
Sailing go our ships, down to Normandy
Many many years, we have fought and cried
Many many times, our armies have been tried
Our allies they are many, our enemies they are too
But soldiers keep on dying, we're whittled down to few
We must keep on fighting, no matter what the cost
For liberty, for freedom, for those that we have lost
They say that we are winning, they hear the victory bells
While us, we are still hurting, from sights and sounds and smells
They think that this is over, they sing and shout and yell
But what they're all forgetting is the war from mankind's hell
We will still remember, many years from now
Wake up in the night, with sweat apouring from our brow
It never really finished, in fact it's only just begun
With all of this in mind... Who can really say «*We won*»*?
boom go the guns, piling up the dead
Crash go the tanks, over rubble thick,
Crash go the waves, with boats full of our sick
Flying go our planes, off to Germany
Sailing go our ships, down to Normandy
Many many years, we have fought and cried
Many many times, our armies have been tried
Our allies they are many, our enemies they are too
But soldiers keep on dying, we're whittled down to few
We must keep on fighting, no matter what the cost
For liberty, for freedom, for those that we have lost
They say that we are winning, they hear the victory bells
While us, we are still hurting, from sights and sounds and smells
They think that this is over, they sing and shout and yell
But what they're all forgetting is the war from mankind's hell
We will still remember, many years from now
Wake up in the night, with sweat apouring from our brow
It never really finished, in fact it's only just begun
With all of this in mind... Who can really say «*We won*»*?
War (traduction)
NB: cette traduction est fournie afin d'être dans les règles du forum et n'est en aucun cas censé être un poème en soi
Boom font les bombes, tombant sur nos têtes
Boom font les canons, faisant des tas de morts
Crash font les les chars, sur les ruines épaisses
Crash font les vagues, sur nos bateaux remplis de malades
Nos avions s'envolent pour l'Allemagne
Nos navires embarquent pour la Normandie
De nombreuses années ça fait qu'on se bat
De nombreuses fois nos armées ont été testés
Nos alliés sont nombreux, nos ennemis aussi
Mais à force que nos soldats meurent ce chiffre devient de plus en plus petit
On doit continuer à se battre peu importe le coût,
Pour la liberté, notre liberté, et ceux qu'on a perdu
Ils disent que nous gagnons, qu'ils entendent les cloches de la victoire
Mais nous on supporte toujours les images, les sons, les odeurs
Ils pensent que tout est fini, ils chantent ils gueulent ils hurlent
Mais ce qu'ils oublient tous c'est la guerre sortie de l'enfer
Nous nous rappelerons toujours même à des années de maintenant
On se réveillera pendant la nuit la sueur ruisselante au front
Ce n'était jamais vraiment fini, ça ne fait que commencer
Et si c'est ça notre lot, qui peut vraiment dire "on a gagné"?
Boom font les bombes, tombant sur nos têtes
Boom font les canons, faisant des tas de morts
Crash font les les chars, sur les ruines épaisses
Crash font les vagues, sur nos bateaux remplis de malades
Nos avions s'envolent pour l'Allemagne
Nos navires embarquent pour la Normandie
De nombreuses années ça fait qu'on se bat
De nombreuses fois nos armées ont été testés
Nos alliés sont nombreux, nos ennemis aussi
Mais à force que nos soldats meurent ce chiffre devient de plus en plus petit
On doit continuer à se battre peu importe le coût,
Pour la liberté, notre liberté, et ceux qu'on a perdu
Ils disent que nous gagnons, qu'ils entendent les cloches de la victoire
Mais nous on supporte toujours les images, les sons, les odeurs
Ils pensent que tout est fini, ils chantent ils gueulent ils hurlent
Mais ce qu'ils oublient tous c'est la guerre sortie de l'enfer
Nous nous rappelerons toujours même à des années de maintenant
On se réveillera pendant la nuit la sueur ruisselante au front
Ce n'était jamais vraiment fini, ça ne fait que commencer
Et si c'est ça notre lot, qui peut vraiment dire "on a gagné"?
Invasion
Les airs de corsaires
Ne m'ont jamais plu
Les pirates foncèrent
Mes stocks ils ont bu
Sans jamais payer
Pas un rond, pas un sou
Les gens ils se plaignent
Qu'ils boivent tout le rhum
L'alcool qu'ils prennent
Dépasse notre summum
On n'y peut rien
Maintenant c'est trop tard
Car fini le rhum
Sorti le ricard
Disparue la bière
Tout bu le vin
Plus de vodka
Ils seront jamais pleins...
Ne m'ont jamais plu
Les pirates foncèrent
Mes stocks ils ont bu
Sans jamais payer
Pas un rond, pas un sou
Les gens ils se plaignent
Qu'ils boivent tout le rhum
L'alcool qu'ils prennent
Dépasse notre summum
On n'y peut rien
Maintenant c'est trop tard
Car fini le rhum
Sorti le ricard
Disparue la bière
Tout bu le vin
Plus de vodka
Ils seront jamais pleins...
La Reine des cœurs (commande)
Rouge est la reine, bourreau des cœurs
Grande est sa haine, engendrant des horreurs
Coupez-leur la tête*! C'est tout ce qu'elle sait dire
Mais rien qu'à l'entendre, on ne s'empêche de frémir
Familles déchirées, enfants en pleurs
Chiens, hommes et monstres la fuient en terreur
Le sang et la mort sont ses uniques plaisirs
Tout le monde cherche à se sauver des ires
De la reine au cœur rouge et ses cinq cent soldats
Pour si peu que sa tête vous fasse rire aux éclats
Jamais elle perd, du moins c'est ce qu'on dit
Folle, oui elle l'est, du pouvoir de la vie
Ou plutôt celui de le trancher ainsi
Comme un morceau de pain qui devient moisi
Elle règne d'une main de fer, moins forte qu'elle ne croit
Car bientôt, on dit, c'est elle qui perdra
Le peuple se lève, ils en ont tous marre
Du tyran en rouge qui les mène à la barre
J'espère que je vis pour voir tout cela
Que la prochaine tête coupée ne soit pas celle à moi.
Grande est sa haine, engendrant des horreurs
Coupez-leur la tête*! C'est tout ce qu'elle sait dire
Mais rien qu'à l'entendre, on ne s'empêche de frémir
Familles déchirées, enfants en pleurs
Chiens, hommes et monstres la fuient en terreur
Le sang et la mort sont ses uniques plaisirs
Tout le monde cherche à se sauver des ires
De la reine au cœur rouge et ses cinq cent soldats
Pour si peu que sa tête vous fasse rire aux éclats
Jamais elle perd, du moins c'est ce qu'on dit
Folle, oui elle l'est, du pouvoir de la vie
Ou plutôt celui de le trancher ainsi
Comme un morceau de pain qui devient moisi
Elle règne d'une main de fer, moins forte qu'elle ne croit
Car bientôt, on dit, c'est elle qui perdra
Le peuple se lève, ils en ont tous marre
Du tyran en rouge qui les mène à la barre
J'espère que je vis pour voir tout cela
Que la prochaine tête coupée ne soit pas celle à moi.
Bleu, acte 1
Elle est la flamme
mon cœur, la chandelle
qu'elle fera briller
d'une lueur éternelle
car je ne vois rien
sinon que par elle
parmi les femmes
on ne trouve plus belle.
Son nom, on peut dire
me rappelle la mer
elle saura que je
ferais tout pour lui plaire
même aller jusqu'à
remuer ciel et terre.
Ma femme, ma chérie,
tu es tout ce que je veux
nous savons aussi
que la vie, c'est à deux
alors joints-toi à moi
et crions tout fort
"Ne nous séparez pas!"
car sans toi, je suis mort...
mon cœur, la chandelle
qu'elle fera briller
d'une lueur éternelle
car je ne vois rien
sinon que par elle
parmi les femmes
on ne trouve plus belle.
Son nom, on peut dire
me rappelle la mer
elle saura que je
ferais tout pour lui plaire
même aller jusqu'à
remuer ciel et terre.
Ma femme, ma chérie,
tu es tout ce que je veux
nous savons aussi
que la vie, c'est à deux
alors joints-toi à moi
et crions tout fort
"Ne nous séparez pas!"
car sans toi, je suis mort...
Je voudrais tellement. (Bleu acte 2, trad)
Tu m'as mené mais on n'a pas la même destination
toi pour qui j'aurais marché des nations
Ma confiance fut mal placée, cela m'est bien clair
même si elle l'était en tout ce qui m'est cher
Je voudrais que tu ressentes une fraction de ceci
cette flamme qui dévore d'un baiser tout petit
Un feu qui consomme tout sur son passage
qui monte, qui brûle, dévastant il ravage
Je voudrais que tu saches la douleur que ça cause
les blessures profondes et les bleus qui imposent
qui crèvent mon coeur bien plus que leurs mots
comme une petite souris sous les griffes de mille oiseaux
Je voudrais que tu voies la croix que je porte
chaque petit détail qui montre combien tu m'importes
Je voudrais que tu voies, que tu comprenne bien
que la vie est un don: n'accepte pas moins...
toi pour qui j'aurais marché des nations
Ma confiance fut mal placée, cela m'est bien clair
même si elle l'était en tout ce qui m'est cher
Je voudrais que tu ressentes une fraction de ceci
cette flamme qui dévore d'un baiser tout petit
Un feu qui consomme tout sur son passage
qui monte, qui brûle, dévastant il ravage
Je voudrais que tu saches la douleur que ça cause
les blessures profondes et les bleus qui imposent
qui crèvent mon coeur bien plus que leurs mots
comme une petite souris sous les griffes de mille oiseaux
Je voudrais que tu voies la croix que je porte
chaque petit détail qui montre combien tu m'importes
Je voudrais que tu voies, que tu comprenne bien
que la vie est un don: n'accepte pas moins...
I wish... (Bleu acte 2)
You led me on, but we're at different destinations,
you for who I would have crossed nations.
My trust I misplaced, that much is clear,
despite that it be in all I hold dear.
I would that you felt but a fraction of this,
a flame that devours yet starts with a mere kiss.
A fire that grows till 'tis all-consuming,
that rises in circles, burning and searing.
I would that you knew the pain that it causes,
the cuts that run deep and the hundreds of bruises
that scar my heart much more than their words,
like a poor little mouse clawed by thousands of birds.
I would that you saw the cross that I bear,
each little detail to show that I care.
I wish that you could, more than anything else,
see that life is a gift, please don't settle for less.
you for who I would have crossed nations.
My trust I misplaced, that much is clear,
despite that it be in all I hold dear.
I would that you felt but a fraction of this,
a flame that devours yet starts with a mere kiss.
A fire that grows till 'tis all-consuming,
that rises in circles, burning and searing.
I would that you knew the pain that it causes,
the cuts that run deep and the hundreds of bruises
that scar my heart much more than their words,
like a poor little mouse clawed by thousands of birds.
I would that you saw the cross that I bear,
each little detail to show that I care.
I wish that you could, more than anything else,
see that life is a gift, please don't settle for less.
La mort (commande)
Pour ceux qui ont tout vécu c'est la prochaine aventure
Aux grands guerriers, le dernier ennemi
A ceux qui veulent vivre, la peur dans la nuit
Ce que les jeunes pensent n'arrive qu'aux mûrs
Le voile qui couvre notre sourire d'antan
Le silence qui marque la fin de notre temps
Une paix qui met fin à l'énorme brouhaha
Les anges nous amènent, nous portent sous leurs bras
Notre mal n'est pas de quitter la vie
Mais de laisser tout ce dont on aurait envie
Ce n'est pas une maladie dont il faudrait guérir
Mais l'étape de la vie la plus longue à venir
On dit bien qu'il y aurait une fin à tout
La mort, eh bien, c'est notre fin à nous.
Aux grands guerriers, le dernier ennemi
A ceux qui veulent vivre, la peur dans la nuit
Ce que les jeunes pensent n'arrive qu'aux mûrs
Le voile qui couvre notre sourire d'antan
Le silence qui marque la fin de notre temps
Une paix qui met fin à l'énorme brouhaha
Les anges nous amènent, nous portent sous leurs bras
Notre mal n'est pas de quitter la vie
Mais de laisser tout ce dont on aurait envie
Ce n'est pas une maladie dont il faudrait guérir
Mais l'étape de la vie la plus longue à venir
On dit bien qu'il y aurait une fin à tout
La mort, eh bien, c'est notre fin à nous.
Bleu, acte 3.
Without I feel hollow, with I feel whole
When you're far my heart stops beating, when you're near it lights up my soul
When we touch my skin is fire, my need for you is strong
My thoughts are all for you my love, for you're where I belong
I may be a good poet, I'm never really sure
Without you I'll never know it, 'cause the words marched out my door
They walked a thousand miles to put a smile upon your face
I hope that you will read them, when shadows take my place
For if you do not want me, you only have to say
But if you think you need me, don't make me go away
I want to make it better, to help you everyday
To love you and to hold you, in every single way
I know you would not hurt him, no matter what the cost
But think on what you're doing, how much you will have lost
Your heart is held at ransom, your life not your's to live
The only real question ? Who is going to give.
When you're far my heart stops beating, when you're near it lights up my soul
When we touch my skin is fire, my need for you is strong
My thoughts are all for you my love, for you're where I belong
I may be a good poet, I'm never really sure
Without you I'll never know it, 'cause the words marched out my door
They walked a thousand miles to put a smile upon your face
I hope that you will read them, when shadows take my place
For if you do not want me, you only have to say
But if you think you need me, don't make me go away
I want to make it better, to help you everyday
To love you and to hold you, in every single way
I know you would not hurt him, no matter what the cost
But think on what you're doing, how much you will have lost
Your heart is held at ransom, your life not your's to live
The only real question ? Who is going to give.
Bleu acte 3, trad
NB: cette traduction est fournie afin d'être dans les règles du forum et n'est en aucun cas censé être un poème en soi.
Sans toi je suis vide, avec complet
Quand t'es loin mon coeur ne bat plus, quand t'es là mon âme s'illumine
Quand on se touche ma peau s'enflamme, mon besoin de toi est fort
Mes pensées sont toutes pour toi parce que tu es mon chez moi
Je suis peut-être un bon poète, j'en suis jamais vraiment sûr
Sans toi je ne le saurai jamais parce que mes mots ont pris la porte
Ils ont marché mille miles pour mettre un sourire sur ton visage
J'espère que tu les liras quand les ombres me remplaceront.
Car si tu ne me veux pas, il suffit de me le dire
Mais si tu penses me vouloir, ne me fais pas m'en aller
Je veux tout faire aller t'aider tous les jours
T'aimer et te tenir dans toutes les manières possibles
Je sais que tu ne le blesserais pas, quel que soit le coût
Mais penses à ce que tu fais, ce que t'auras perdu
Ton coeur est pris en rançon, ta vie pas tienne à vivre
La seule vraie question? Qui se rendra en premier.
Sans toi je suis vide, avec complet
Quand t'es loin mon coeur ne bat plus, quand t'es là mon âme s'illumine
Quand on se touche ma peau s'enflamme, mon besoin de toi est fort
Mes pensées sont toutes pour toi parce que tu es mon chez moi
Je suis peut-être un bon poète, j'en suis jamais vraiment sûr
Sans toi je ne le saurai jamais parce que mes mots ont pris la porte
Ils ont marché mille miles pour mettre un sourire sur ton visage
J'espère que tu les liras quand les ombres me remplaceront.
Car si tu ne me veux pas, il suffit de me le dire
Mais si tu penses me vouloir, ne me fais pas m'en aller
Je veux tout faire aller t'aider tous les jours
T'aimer et te tenir dans toutes les manières possibles
Je sais que tu ne le blesserais pas, quel que soit le coût
Mais penses à ce que tu fais, ce que t'auras perdu
Ton coeur est pris en rançon, ta vie pas tienne à vivre
La seule vraie question? Qui se rendra en premier.
Temudjin (commande)
C’est l’histoire de Temudjin
Ce grand homme qui nous fascine
Et de l'empire qu’il a créé
Par la force de ses armées
Des milliers de batailles sanglantes
Une descendance devenue arrogante
Qui couvrit la Terre telle l’herbe les plaines
Jeté par sa tribu natale
Il dut s’enfuir face à son rival
Avec ses frères il fit ses armes
Khasar ses muscles
Kachiun son charme
La nation, il l’unifia
Par ruse, par force et politique
Leurs ennemis, il les nomma:
Jins, Tatars, le monde entier
Le grand Genghis, le conquérant
Qu’ils virent arriver en chevauchant
Les murs ne les protégèrent point
Sa tente noire signa leur fin
Les flèches mongols
Et les soldats
Vidèrent l’Asie
De haut en bas
Rien ne put leur résister
Chaque tentative fut écrasée
Même sa mort ne l’arrête pas
Par ses fils il continua
La destruction abominable
Des dizaines de nations ingérables
Les frontières interminables
Un siècle, c’est tout, puis terminé
Ses territoires départagés
N’oublie le pas, petite gamine:
Tu es une fille de Temudjin...
Et de l'empire qu’il a créé
Par la force de ses armées
Des milliers de batailles sanglantes
Une descendance devenue arrogante
Qui couvrit la Terre telle l’herbe les plaines
Jeté par sa tribu natale
Il dut s’enfuir face à son rival
Avec ses frères il fit ses armes
Khasar ses muscles
Kachiun son charme
La nation, il l’unifia
Par ruse, par force et politique
Leurs ennemis, il les nomma:
Jins, Tatars, le monde entier
Le grand Genghis, le conquérant
Qu’ils virent arriver en chevauchant
Les murs ne les protégèrent point
Sa tente noire signa leur fin
Les flèches mongols
Et les soldats
Vidèrent l’Asie
De haut en bas
Rien ne put leur résister
Chaque tentative fut écrasée
Même sa mort ne l’arrête pas
Par ses fils il continua
La destruction abominable
Des dizaines de nations ingérables
Les frontières interminables
Un siècle, c’est tout, puis terminé
Ses territoires départagés
N’oublie le pas, petite gamine:
Tu es une fille de Temudjin...
Amazones (commande)
Ancienne civilisation
Matriarcale, guerrière
A l'excès, leur
Zèle incontestable,
Ostensible leur fit de
Nombreux ennemis:
Elles en devinrent des
Symboles du féminisme.
Matriarcale, guerrière
A l'excès, leur
Zèle incontestable,
Ostensible leur fit de
Nombreux ennemis:
Elles en devinrent des
Symboles du féminisme.
Bleu, acte 4
Elle qui est à moi
Comme sa passante à Baudelaire
Une flamme dans le noir
Une brise, une bouffée d'air
Partie bien trop vite, hélas
Son coeur je n'y aie vu que feu
Comme ce pauvre Robert-Houdin
Des difficultés dont il se fit un jeu
Évadée dès l'aube
J'en remercierai Hugo
Coeur brisé mais vendu
A la femme aux murs trop hauts
J'ai voulu l'aider
A connaitre le bonheur
Mais rapidement, la vérité
Ce n'était pas mon heure
Alors je l'attendrai
Ici ou bien là-bas
Ma passante de Paris
Dont mon coeur ne peut être las...
Comme sa passante à Baudelaire
Une flamme dans le noir
Une brise, une bouffée d'air
Partie bien trop vite, hélas
Son coeur je n'y aie vu que feu
Comme ce pauvre Robert-Houdin
Des difficultés dont il se fit un jeu
Évadée dès l'aube
J'en remercierai Hugo
Coeur brisé mais vendu
A la femme aux murs trop hauts
J'ai voulu l'aider
A connaitre le bonheur
Mais rapidement, la vérité
Ce n'était pas mon heure
Alors je l'attendrai
Ici ou bien là-bas
Ma passante de Paris
Dont mon coeur ne peut être las...
Bleu, acte 5
Le bonheur est une chose fragile
Son amour n'était qu'artifice
Le trouver, souvent difficile
Ses sentiments on ne peut plus factices
Le garder, une mission futile
Moi qui fit tant de sacrifices
Tout ce que ce mal annihile
En quoi ais-je mérité ces supplices?
Je m'en veux, je sais que c'est mal
Contre ses murs je me briserai
A chaque fois de lui renvoyer la balle
Mais si j'arrête là, je sais
A chaque problème, refaire ma malle
Qu'à mourir je ne tarderai
Mes pas résonnent en quittant la salle
Cette souffrance, je m'en passerais
Je l'aime, mais c'est bien trop tard
Elle a trouvé mieux, c'est sûr
Les coups de mots, les cent mille dards
Quelqu'un qui sut franchir ses murs
Des regrets, que lui, qui vaut des milliards
Qui n'aura pas à vivre mes blessures
Avant son temps, je l'ai rendu vieillard
Dont le coeur n'aura aucune fissure...
Son amour n'était qu'artifice
Le trouver, souvent difficile
Ses sentiments on ne peut plus factices
Le garder, une mission futile
Moi qui fit tant de sacrifices
Tout ce que ce mal annihile
En quoi ais-je mérité ces supplices?
Je m'en veux, je sais que c'est mal
Contre ses murs je me briserai
A chaque fois de lui renvoyer la balle
Mais si j'arrête là, je sais
A chaque problème, refaire ma malle
Qu'à mourir je ne tarderai
Mes pas résonnent en quittant la salle
Cette souffrance, je m'en passerais
Je l'aime, mais c'est bien trop tard
Elle a trouvé mieux, c'est sûr
Les coups de mots, les cent mille dards
Quelqu'un qui sut franchir ses murs
Des regrets, que lui, qui vaut des milliards
Qui n'aura pas à vivre mes blessures
Avant son temps, je l'ai rendu vieillard
Dont le coeur n'aura aucune fissure...
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