DeletedUser3897
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Un océan d'un bleu parfait et profond.
Van se sentait dériver en toute quiétude dans un océan chaleureux et accueillant.
Il ne savait pas depuis combien de temps il était là, et ça lui importé peu, tellement la sensation de bien être et de plaisir le submergait.
Puis, l'eau l'avala, sans même qu'il comprend comment, l'air lui manqué.
Il suffoquait.
La chaleur du manque lui brulait les poumons.
Encore un peu il allait mourir absorbé par l'océan qui plutôt n'était que bienveillance et plaisir.
Se débattant de plus en plus, il se sentit néanmoins aspiré par l'océan...l'impression de tomber dans un puit sans fond et sans air...un vide absolue.
C'est à se moment précis que Van se réveilla en sursaut.
Le sein ferme et rose qui obstrué ses voies respiratoires fut projeté en arrière en même temps que la jeune demoiselle a qui il appartenait.
Le torse de Van se soulever avec rapidité, avide d'aspirer l'air frais.
Regardant autour de lui, il aperçu la jeune demoiselle au cheveux noir et aux seins oppulant qui avait faillit le tuer il y a quelques instant.
Elle était ravissante. Une petite femme d'1m60, tout en volupté, à l'image de sa poitrine lourde et ferme.
Elle devait avoir, néanmoins, 10 ans de plus que Van.
Regardant par la fenêtre, il voyait la lune se coucher...bientôt le jour serait de retour. Et avec lui, le mari de la belle. il était plus que temps de quitter les lieux.
D'ailleurs, les bruits qui arrivaient par la fenêtre de l'étable, lui appris, que le dit mari, était arrivé. Le soldat avait certainement fini son tour de garde, et avait dans l'idée de passé quelques instants de bonheur dans le lit conjugal.
Hmm...
La belle entrouvait enfin les yeux.
Le sourire aux lèvres, laissa voir qu'il lui manquait une ou deux dents.
Son regard se tourna très vite de Van à la fenêtre par où parvenait les bruits de l'arriver de son soldat de mari.
"Mon dieu! mon mari!"
Le regard plein déjà d'un remord coupable, Van devinait déjà à quoi elle pensait:
Elle se préparer déjà à vendre son amant comme un méchant vilain cambrioleur qui avait abuser-à son corps défendant- de la chair de celle-ci.
Pauvre chose ne pouvant se défendre. Elle avait attendu avec espoir l'arriver de son grand héros: son mari.
Bref, ça sentait le roussi pour le brave Van.
Mais celui-ci n'était pas à son premier coup d'un soir, avec une femme à la petite moralité.
Il déguerpit du lit aussi vite qu'il y était entré.
Jetant ses vêtements par la fenêtre, il ne garda que son épée à la main (sans jeu de mot).
Il enjambat la fenêtre. Par chance, il était au rez-de-chaussé.
Prenant ses vêtements et ses jambes à son cou, il m'y le plus de distance possible entre lui et le lieu du crime.
Pendant qu'il courait nu, l'épée à l'air libre (ce qui est très dangereux pour de nombreuses raisons...).
les souvenirs de la nuit dernière lui revient en mémoire.
Après une bonne beuverie entre amis, il avait séduit une serveuse de la taverne et avait finit chez elle.
Il était passablement ivre.
Mais, l'un dans l'autre, c'était une soirée fort sympathique.
Arrivant enfin au début du bois, il put utiliser les arbres pour se cacher de tout poursuivant.
Il ralentit enfin.
Il était plus que temps de s'habiller.
C'est à ce moment, très opportun, que la magie opéra.
Dans un plouf très sérieux, Van disparut de son monde, pour arriver sur Xativa.
Van se sentait dériver en toute quiétude dans un océan chaleureux et accueillant.
Il ne savait pas depuis combien de temps il était là, et ça lui importé peu, tellement la sensation de bien être et de plaisir le submergait.
Puis, l'eau l'avala, sans même qu'il comprend comment, l'air lui manqué.
Il suffoquait.
La chaleur du manque lui brulait les poumons.
Encore un peu il allait mourir absorbé par l'océan qui plutôt n'était que bienveillance et plaisir.
Se débattant de plus en plus, il se sentit néanmoins aspiré par l'océan...l'impression de tomber dans un puit sans fond et sans air...un vide absolue.
C'est à se moment précis que Van se réveilla en sursaut.
Le sein ferme et rose qui obstrué ses voies respiratoires fut projeté en arrière en même temps que la jeune demoiselle a qui il appartenait.
Le torse de Van se soulever avec rapidité, avide d'aspirer l'air frais.
Regardant autour de lui, il aperçu la jeune demoiselle au cheveux noir et aux seins oppulant qui avait faillit le tuer il y a quelques instant.
Elle était ravissante. Une petite femme d'1m60, tout en volupté, à l'image de sa poitrine lourde et ferme.
Elle devait avoir, néanmoins, 10 ans de plus que Van.
Regardant par la fenêtre, il voyait la lune se coucher...bientôt le jour serait de retour. Et avec lui, le mari de la belle. il était plus que temps de quitter les lieux.
D'ailleurs, les bruits qui arrivaient par la fenêtre de l'étable, lui appris, que le dit mari, était arrivé. Le soldat avait certainement fini son tour de garde, et avait dans l'idée de passé quelques instants de bonheur dans le lit conjugal.
Hmm...
La belle entrouvait enfin les yeux.
Le sourire aux lèvres, laissa voir qu'il lui manquait une ou deux dents.
Son regard se tourna très vite de Van à la fenêtre par où parvenait les bruits de l'arriver de son soldat de mari.
"Mon dieu! mon mari!"
Le regard plein déjà d'un remord coupable, Van devinait déjà à quoi elle pensait:
Elle se préparer déjà à vendre son amant comme un méchant vilain cambrioleur qui avait abuser-à son corps défendant- de la chair de celle-ci.
Pauvre chose ne pouvant se défendre. Elle avait attendu avec espoir l'arriver de son grand héros: son mari.
Bref, ça sentait le roussi pour le brave Van.
Mais celui-ci n'était pas à son premier coup d'un soir, avec une femme à la petite moralité.
Il déguerpit du lit aussi vite qu'il y était entré.
Jetant ses vêtements par la fenêtre, il ne garda que son épée à la main (sans jeu de mot).
Il enjambat la fenêtre. Par chance, il était au rez-de-chaussé.
Prenant ses vêtements et ses jambes à son cou, il m'y le plus de distance possible entre lui et le lieu du crime.
Pendant qu'il courait nu, l'épée à l'air libre (ce qui est très dangereux pour de nombreuses raisons...).
les souvenirs de la nuit dernière lui revient en mémoire.
Après une bonne beuverie entre amis, il avait séduit une serveuse de la taverne et avait finit chez elle.
Il était passablement ivre.
Mais, l'un dans l'autre, c'était une soirée fort sympathique.
Arrivant enfin au début du bois, il put utiliser les arbres pour se cacher de tout poursuivant.
Il ralentit enfin.
Il était plus que temps de s'habiller.
C'est à ce moment, très opportun, que la magie opéra.
Dans un plouf très sérieux, Van disparut de son monde, pour arriver sur Xativa.