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Ce poème d'un joueur écrit par lui pour moi. Avec son accord je vous le partage, je suis sous le charme
Elle
Resplendissante et évanescente, je t'aime tant,
Que bien cruel, me sépare de toi le temps.
Ô ! Amaterasu je fonds devant toi,
Et liquéfié attends que tu t'abreuves de moi.
Sur l'autel de Teotihuacán est mon corps languissant,
Duquel tu brandis mon cœur et le broies,
Car tu ne vois rien de mon terrible émoi.
Ma souffrance n'est en ta présence qu'un agrément,
En ton absence je meurs que je ne te vois.
Ma passion est délétère, je me désagrège lentement.
Que ne ferais-je pour que de mon existence,
Ton indifférence prenne enfin conscience.
Que ne suis-je Héraclès, de tous mes travaux,
Tu serais le treizième, le plus ardu et le plus beau.
À la vue de tes lèvres je perds toute éloquence,
Et ne puis te murmurer ces mots capitaux,
Qui des enfers me mèneraient vers ton essence.
Las, ne pouvant te posséder, la tunique du fléau,
Nessos, je revêtirai mon amour en déshérence,
Sur le bûcher d'Œta se jettera mon âme perdue sans ego.
Elle
Resplendissante et évanescente, je t'aime tant,
Que bien cruel, me sépare de toi le temps.
Ô ! Amaterasu je fonds devant toi,
Et liquéfié attends que tu t'abreuves de moi.
Sur l'autel de Teotihuacán est mon corps languissant,
Duquel tu brandis mon cœur et le broies,
Car tu ne vois rien de mon terrible émoi.
Ma souffrance n'est en ta présence qu'un agrément,
En ton absence je meurs que je ne te vois.
Ma passion est délétère, je me désagrège lentement.
Que ne ferais-je pour que de mon existence,
Ton indifférence prenne enfin conscience.
Que ne suis-je Héraclès, de tous mes travaux,
Tu serais le treizième, le plus ardu et le plus beau.
À la vue de tes lèvres je perds toute éloquence,
Et ne puis te murmurer ces mots capitaux,
Qui des enfers me mèneraient vers ton essence.
Las, ne pouvant te posséder, la tunique du fléau,
Nessos, je revêtirai mon amour en déshérence,
Sur le bûcher d'Œta se jettera mon âme perdue sans ego.