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*Sheik observe brièvement les quatre suspects réunis dans la salle*
Bien, hm... Oui, tout le monde est là, n'est-ce pas ?
*Pas de réponse*
Je suppose, hm, que oui... Nous pouvons commencer.
Tout à commencer le 20 décembre... A moins que ce fut le 19, hm 18... Bref ! Le jour du vol de cette précieuse, très précieuse recette de biscuits.
Comme vous le savez, il y a parmi vous quelqu'un qui ment aux enquêteurs depuis le début et c'est pour découvrir... de... de qui il s'a-s'agit qu'on nous a... Appelé.
*Submergé par l'émotion, Sheik tente tant bien que mal de reprendre une respiration tranquille*
Ouf... Hm, après moult réflexions, fausses pistes et j'en passe et des meilleurs, hm...
*Repense à tout les rabaissements d'Hération à son égard*
… J'en suis arrivé à une première, hm, théorie.
*Sheik se tourne en un premier temps vers Hération, avec qui il a déjà put avoir une longue discussion*
Vous étiez, en effet, un coupable idéal. Un homme à ce point reconnu et... haut placé, dont les seules motivations sont l'argent et la puissance pouvait très bien avoir commis ce simple vol et faire porter le chapeau à quelqu'un d'autre. Un jeu d'enfant pour vous, n'est-ce pas ?
*Sheik attend quelques instants avant de reprendre*
Néanmoins... Pourquoi risquer de tout perdre en subtilisant cette recette. J'ai eu beau me gratter la tête jusqu'au sang...
*Les tempes des Sheik sont en effet très irritées*
Je n'ai pour autant pas trouvé à quoi cela vous aurait-il avancé de commettre ce vol. Hm, de plus vos paroles ont été claires... Tellement, qu'elles raisonnent encore dans ma tête. Vous avez bel et bien juré sur ce que vous avez de plus cher : votre ar-gent.
En espérant bien sûr... Que votre ambition ne vous ai pas poussée à mentir à l'enquêteur chargé... de cette tâche par le roi lui-même, hm que je suis.
*Sheik observe attentivement Hération, pour s'assurer que ce dernier n'ai rien à ajouter, puis se tourne vers Fripouille*
Fripon, hm Fripouille. Vous êtes le petit plaisantin de cette cours, n'est-ce pas ?
Voler une recette très importante de biscuits destinée au Roi lui-même... Quel bon tour, hm ? Ç’aurait été surement le plus beau... de toute votre carrière de... de bouffon, n'est-ce pas ?
Pourtant, lors de votre interrogatoire, vous m'avez paru assez... très fidèle a vôtre souverain. Vous êtes peut être même le plus dévoué des 4 suspects.
Et puis, vous me l'avez dit, il n'est pas question que vous fassiez quoi que ce soit qui puisse nuire à Sa Majesté. Alors, hm, voler la recette qui lui est destinée... Impensable, n'est-ce pas ?
*Sheik esquisse un sourire*
Hm, hm ! Ces éléments m'ont amené à la théorie que, finalement, vous n'êtes pas un si mauvais...bouffon.
*Un lourd silence s'installe dans la pièce*
« Bon, il reste le médecin et... le poivrot »
Do... Donatien ! Je n'ai malheureusement pas eu l'occasion de vous rencontrer depuis que je suis arrivé. J'en suis fort désolé, mais vous savez 4 suspects c'est beaucoup et puis il s'avère que...
Enfin vous voyez, n'est-ce pas ? Mais nombre de vos paroles sont arrivées à mes oreilles, car vous savez il y a beaucoup d'enquêteurs, donc également beaucoup de... Enfin bref, hm ! Tout ce que vous avez pu dire, enfin tout ce que j'ai entendu par d'autres que vous avez dit... Enfin v-vous me comprenez, n'est-ce pas ?
*Le médecin impressionne énormément Sheik*
Ouf... Je respire... et voilà ! Hm, où nous en é... ah oui ! J'ai pu constater que tout ce que vous avez pu dire était extrêmement cohérent et déviait sans problème les nombreuses accusations dont vous étiez la cible. Et puis, apparemment, vous avez une multitude de témoins qui peuvent confirmer que vous n'étiez pas sur les lieux du crime le soir où il a eu lieu, alors... vous êtes tranquille, n'est-ce pas ?
*Inspire profondément avant de se tourner vers le paladin*
Il ne reste donc plus... que vous, Jason. Le fier, hm, paladin de ce royaume, maître des armées.
Dans cette affaire, tout était contre vous. Tous aussi d'ailleurs. En effet, hm, un amateur de biscuits tel que vous constitue le parfait coupable, n'est-ce pas ? Ne pouvant résister à l'alléchante odeur de ces mets, vous avez tout simplement volé la recette... Un peu facile, vous allez me... me dire, hm ?
C'est ce que j'ai pensé au commencement de mon enquête, en apprenant, en plus de cela, que les trois autres suspects avaient fait en quelque sorte, hm, table à part de la vôtre.
Je suis persuadé que nombre d'autres enquêteurs ont pensé qu'effectivement vous étiez un coupable trop évident pour l'être réellement, n'est-ce pas ? Hm.
*Sheik se racle violemment la gorge. Il allait devoir encore parler un peu*
Hm, hm... Pourtant, un détail, qui est d'ailleurs passé inaperçu pour bon nombre d'enquêteurs, a complètement modifié mon point de vu sur vous. Quand j'ai reçu le rapport de cette sombre affaire, le 15... ou peut-être le 14.. Bref ! Il y était écrit que le garde chargé de la protection de la pièce dans laquelle se trouvait la fameuse recette, avait mystérieusement disparu.
Qu'est-il advenu de lui ?
*Sheik fix... Essaie de fixer le paladin dans les yeux, avant de reprendre, assez sûr de lui pour une fois*
Je vais vous le dire. Je suis pratiquement certain que quelqu'un est venu à sa rencontre. Que ce « quelqu'un » l'a relevé de ses fonctions, pour qu'enfin ce même « quelqu'un » puisse pénétrer en toute quiétude dans le sous sol et subtiliser la... recette !
Mais en qui ce garde aurait-il eut assez confiance pour le laisser surveiller seul la salle... Hm...
*Sheik cherche ses mots*
« Mince ! Mince ! Miiiince ! J'avais presque réussi à pas bégayer... »
La salle... Sacrée, n'est-ce pas ? Hm... C'était probablement quelqu'un de très important et proche de ce garde... Ou du moins de l'armée en général. Quelqu'un a qui il devait obéir.
*Patiente quelques instant, prenant le temps de bien chercher ses mots et de les mettre en ordre*
A l'ouverture de mon enquête, je n'aurais pas pensé dire cela... mais le coupable c'est bel et bien vous, Jason Mamane, chef des armées de ce royaume !
Pour une fois... Le coupable idéal se révèle bien être le vrai coupable, n'est-ce pas ?
*Sheik observe Jason, attendant une réaction*
« … J’espère que je me suis pas encore planté... »
Bien, hm... Oui, tout le monde est là, n'est-ce pas ?
*Pas de réponse*
Je suppose, hm, que oui... Nous pouvons commencer.
Tout à commencer le 20 décembre... A moins que ce fut le 19, hm 18... Bref ! Le jour du vol de cette précieuse, très précieuse recette de biscuits.
Comme vous le savez, il y a parmi vous quelqu'un qui ment aux enquêteurs depuis le début et c'est pour découvrir... de... de qui il s'a-s'agit qu'on nous a... Appelé.
*Submergé par l'émotion, Sheik tente tant bien que mal de reprendre une respiration tranquille*
Ouf... Hm, après moult réflexions, fausses pistes et j'en passe et des meilleurs, hm...
*Repense à tout les rabaissements d'Hération à son égard*
… J'en suis arrivé à une première, hm, théorie.
*Sheik se tourne en un premier temps vers Hération, avec qui il a déjà put avoir une longue discussion*
Vous étiez, en effet, un coupable idéal. Un homme à ce point reconnu et... haut placé, dont les seules motivations sont l'argent et la puissance pouvait très bien avoir commis ce simple vol et faire porter le chapeau à quelqu'un d'autre. Un jeu d'enfant pour vous, n'est-ce pas ?
*Sheik attend quelques instants avant de reprendre*
Néanmoins... Pourquoi risquer de tout perdre en subtilisant cette recette. J'ai eu beau me gratter la tête jusqu'au sang...
*Les tempes des Sheik sont en effet très irritées*
Je n'ai pour autant pas trouvé à quoi cela vous aurait-il avancé de commettre ce vol. Hm, de plus vos paroles ont été claires... Tellement, qu'elles raisonnent encore dans ma tête. Vous avez bel et bien juré sur ce que vous avez de plus cher : votre ar-gent.
En espérant bien sûr... Que votre ambition ne vous ai pas poussée à mentir à l'enquêteur chargé... de cette tâche par le roi lui-même, hm que je suis.
*Sheik observe attentivement Hération, pour s'assurer que ce dernier n'ai rien à ajouter, puis se tourne vers Fripouille*
Fripon, hm Fripouille. Vous êtes le petit plaisantin de cette cours, n'est-ce pas ?
Voler une recette très importante de biscuits destinée au Roi lui-même... Quel bon tour, hm ? Ç’aurait été surement le plus beau... de toute votre carrière de... de bouffon, n'est-ce pas ?
Pourtant, lors de votre interrogatoire, vous m'avez paru assez... très fidèle a vôtre souverain. Vous êtes peut être même le plus dévoué des 4 suspects.
Et puis, vous me l'avez dit, il n'est pas question que vous fassiez quoi que ce soit qui puisse nuire à Sa Majesté. Alors, hm, voler la recette qui lui est destinée... Impensable, n'est-ce pas ?
*Sheik esquisse un sourire*
Hm, hm ! Ces éléments m'ont amené à la théorie que, finalement, vous n'êtes pas un si mauvais...bouffon.
*Un lourd silence s'installe dans la pièce*
« Bon, il reste le médecin et... le poivrot »
Do... Donatien ! Je n'ai malheureusement pas eu l'occasion de vous rencontrer depuis que je suis arrivé. J'en suis fort désolé, mais vous savez 4 suspects c'est beaucoup et puis il s'avère que...
Enfin vous voyez, n'est-ce pas ? Mais nombre de vos paroles sont arrivées à mes oreilles, car vous savez il y a beaucoup d'enquêteurs, donc également beaucoup de... Enfin bref, hm ! Tout ce que vous avez pu dire, enfin tout ce que j'ai entendu par d'autres que vous avez dit... Enfin v-vous me comprenez, n'est-ce pas ?
*Le médecin impressionne énormément Sheik*
Ouf... Je respire... et voilà ! Hm, où nous en é... ah oui ! J'ai pu constater que tout ce que vous avez pu dire était extrêmement cohérent et déviait sans problème les nombreuses accusations dont vous étiez la cible. Et puis, apparemment, vous avez une multitude de témoins qui peuvent confirmer que vous n'étiez pas sur les lieux du crime le soir où il a eu lieu, alors... vous êtes tranquille, n'est-ce pas ?
*Inspire profondément avant de se tourner vers le paladin*
Il ne reste donc plus... que vous, Jason. Le fier, hm, paladin de ce royaume, maître des armées.
Dans cette affaire, tout était contre vous. Tous aussi d'ailleurs. En effet, hm, un amateur de biscuits tel que vous constitue le parfait coupable, n'est-ce pas ? Ne pouvant résister à l'alléchante odeur de ces mets, vous avez tout simplement volé la recette... Un peu facile, vous allez me... me dire, hm ?
C'est ce que j'ai pensé au commencement de mon enquête, en apprenant, en plus de cela, que les trois autres suspects avaient fait en quelque sorte, hm, table à part de la vôtre.
Je suis persuadé que nombre d'autres enquêteurs ont pensé qu'effectivement vous étiez un coupable trop évident pour l'être réellement, n'est-ce pas ? Hm.
*Sheik se racle violemment la gorge. Il allait devoir encore parler un peu*
Hm, hm... Pourtant, un détail, qui est d'ailleurs passé inaperçu pour bon nombre d'enquêteurs, a complètement modifié mon point de vu sur vous. Quand j'ai reçu le rapport de cette sombre affaire, le 15... ou peut-être le 14.. Bref ! Il y était écrit que le garde chargé de la protection de la pièce dans laquelle se trouvait la fameuse recette, avait mystérieusement disparu.
Qu'est-il advenu de lui ?
*Sheik fix... Essaie de fixer le paladin dans les yeux, avant de reprendre, assez sûr de lui pour une fois*
Je vais vous le dire. Je suis pratiquement certain que quelqu'un est venu à sa rencontre. Que ce « quelqu'un » l'a relevé de ses fonctions, pour qu'enfin ce même « quelqu'un » puisse pénétrer en toute quiétude dans le sous sol et subtiliser la... recette !
Mais en qui ce garde aurait-il eut assez confiance pour le laisser surveiller seul la salle... Hm...
*Sheik cherche ses mots*
« Mince ! Mince ! Miiiince ! J'avais presque réussi à pas bégayer... »
La salle... Sacrée, n'est-ce pas ? Hm... C'était probablement quelqu'un de très important et proche de ce garde... Ou du moins de l'armée en général. Quelqu'un a qui il devait obéir.
*Patiente quelques instant, prenant le temps de bien chercher ses mots et de les mettre en ordre*
A l'ouverture de mon enquête, je n'aurais pas pensé dire cela... mais le coupable c'est bel et bien vous, Jason Mamane, chef des armées de ce royaume !
Pour une fois... Le coupable idéal se révèle bien être le vrai coupable, n'est-ce pas ?
*Sheik observe Jason, attendant une réaction*
« … J’espère que je me suis pas encore planté... »